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CGT UGICT-CGT SCID SAPP CFDT CFE-CGC UNSA-PRINTEMPS
LICENCIEMENTS AU GROUPE PRINTEMPS : Il EST TEMPS DE SE FAIRE ENTENDRE !
Le 19 mars 2021
Après plusieurs réunions de négociation, alors que les mesures initiales sont très faibles et loin des besoins, la direction a fait des propositions 2 mois après le début des négociations.
Ces nouvelles mesures sont tout simplement inacceptables. Elles ne visent pas à aider les salariés à trouver des solutions durables. Elles ne changent rien au fond pour des salariés qui perdront leur emploi.
La direction mène une tactique d’usure et de marchandage dans ces négociations. Les salariés et leurs emplois ne sont pas des produits d’étals de fin de marché !
Quelques exemples de ce que les mesures de la direction vont entraîner :
Empêcher les salariés licenciés de se reconvertir dans un nouveau métier porteur plutôt que poursuivre dans une voie de garage grâce à une formation vraiment diplômante, suffisamment longue et reconnue. Les salariés ont le droit de se former pour changer de métier ! La loi le prévoit !
Obliger les salariés à accepter un contrat précaire CDD ou intérim comme solution de reclassement, avec un salaire équivalent à l’indemnité de chômage partiel perçue au groupe Printemps. La précarité n’est pas une solution de reclassement !
Dissuader les salariés de partir en retraite dans un plan de départ volontaire alors en prenant le risque de perdre une part de leur pension sans compensation. Le plan de départ volontaire de la direction sauvera peu d’emplois dans les faits… Il n’existe que pour donner le change !
Le versement d’une indemnité « additionnelle » faible et inversement proportionnelle au nombre d’années d’ancienneté des salariés licenciés. Les salariés méritent que le préjudice subi et leurs années d’engagement soient reconnus !
Les exemples des effets pervers de ces mesures inacceptables sont encore nombreux.
Après avoir refusé des solutions pour sauver des emplois, décidé de fermer des magasins et des services entiers, la direction et son actionnaire restent dans la logique d’un PSE au rabais, alors même qu’ils ont fait appel à l’appui d’une garantie de l’Etat et des contribuables que nous sommes pour préserver leurs chances de revenus futurs.
Les organisations syndicales unies appellent les salariés du groupe Printemps à signer la pétition